Par les mains l’pendent, et n’ai pas voulu supprimer les que porte le manuscrit en marge. ═ Sur. O.
Vers 2591. — Lire plutôt chien. V. la note du vers 1500.
Vers 2592. — Paismeisuns. O. Erreur du scribe, plusieurs fois reproduite quant à la finale.
Vers 2594. — Peinz est une faute manifeste qu’il a été nécessaire de conserver. Lire peut-être : Tante culur i ad peinte e escrite.
Vers 2598. — Lire Ies. O. V. la note du vers 648. ═ Oi. O. V. la note du vers 1210.
Vers 2601. — Oi. O. V. la note du vers 1210. ═ Ui. Mu.
Vers 2604. — Fiers. O. Pour le s. p., il faut fier. ═ Lor. O. V. la note du vers 17.
Vers 2612. — Marsilie. O. Il faut Marsilies pour le sujet singulier.
Vers 2613. — Lire plutôt premier.
Vers 2614. — Baligant. Dans la Chronique de Turpin, qui est suivie par vingt auteurs, Marsire et Beligand sont deux frères qui ont été l’un et l’autre envoyés en Espagne par l’émir de Babylone, et qui règnent à Saragosse. Ils attaquent ensemble l’arrière-garde commandée par Roland. Marsire est tué par le neveu de Charles ; Beligand s’enfuit. (Cap. xxi, xxii.)
Vers 2615. — Amiraill. O. Pour le cas sujet, la forme amiralz, qui est la correcte, se trouve douze fois dans notre poëme ; amiraill, au s. s., ne se trouve par erreur que cinq fois. ═ Le vieil. O. Pour le cas sujet, li vielz. V. la note du vers 171 et celle du vers 1500.
Vers 2616. — Survesquit. Mu. Nous nous demandons pourquoi Mi., G. et Mu. ont changé la leçon survesquiet, qui est excellente. V. les formes abatied, vers 98 ; abatiet, 1317 ; perdiet, 2795 ; respundiet, 2411.
Vers 2617. — En Sarraguce alt. O. Mu. Nous avons dû ajouter l’ avant ce dernier mot. ═ Lire ber. ═ Tuz. O. Supprimé pour la mesure du vers. De plus, ydeles est du féminin. (Cf. le vers 3604.) ═ Adorer. O. Ne se trouve qu’une fois dans notre manuscrit. La forme aürer (vers 124 et 429) est plus conforme à l’esprit de notre texte.
Vers 2619. — Tuz.
Vers 2620. — Sancte. O. Même remarque que pour le vers 1634.
Vers 2621. — Charlemagne. O. V. la note du vers 94.
Vers 2624. — Pour le sens exact du mot drodmunt, se reporter à la note du vers 2467. ═ Dans le drodmund on faisait entrer les chevaux : témoin ce passage curieux de l’Entrée en Espagne, où l’on voit Roland mettre son cheval dans un dromond à l’aide de cordes et de poulies. Seulement l’estormant du bateau : Desor li dos bastiaus fait bastir un soler, — Tant com li bon cival poit à leisir ester. (Manuscrit français de Venise, n° xxi, fo 228.)