BARTSCH (Karl). Son édition du Karl du Stricker, en 1857, clxxxii. ═ Son beau travail, en 1861, sur le Karl Meinet, clxxxii. ═ Son opinion sur la date du Roland, lx, et sur l’origine du décasyllabe, lii. ═ Dans le fragment de notre poëme que l’érudit allemand a publié en sa Chrestomathie française, il a introduit, le premier, des vers et des couplets empruntés aux autres versions, cxc.
BASQUES. V. Gascons.
BEKKER (Immanuel). Il publie, dès 1829 : Der Roman von Fierabras provenzalisch, et y donne quelques fragments d’Aspremont, clxvii. ═ Son Mémoire sur les Manuscrits français de la Bibliothèque Saint-Marc (1839), clxxvi.
BENEDICTI CHRONICON. Œuvre d’un moine du mont Soracte, mort en 968. C’est là que se trouve la falsification du texte d’Eginhard qui a donné naissance à la fable du Voyage de Charlemagne à Jérusalem et à Constantinople, 36.
BÉRENGER. Un des douze Pairs. Notice, 107.
BERNARD DEL CARPIO. C’est un rival que l’imagination espagnole a donné à Roland, 48. ═ Son rôle dans la Cronica Hispaniæ et la Cronica general, cxlii.
BERTE AS GRANS PIÉS. Résumé complet de la chanson d’Adenès (vers 1275), 25. ═ Variantes et modifications de cette légende d’après la Chronique saintongeaise (commencement du xiiie siècle), le Charlemagne de Venise (xiiie siècle), Philippe Mouskes (1240), le Karl du Stricker (1230), la Gran conquista de Ultramar (fin du xiiie siècle), les Reali (vers 1350), le roman de Berte en prose (première moitié du xve siècle), la Chronique de Weihenstephan (xive siècle) et la Chronica Bremensis de Wolter (xve siècle), 25, 26.
BIBLIOTHÈQUE BLEUE. Son origine, ses caractères. Citation d’un chapitre de Galien, cxvii-cxix, et d’un fragment des Conquestes du grant Charlemaigne des Espaignes qui donneront une idée de ces remaniements de nos remaniements, 74, 75.
BIBLIOTHÈQUE DES ROMANS de M. de Paulmy. Volumes de novembre-décembre 1777, qui renferment toute une histoire poétique de Roland. La Chanson de Roland restituée par M. de Tressan, clvii-clix.
BIEN. Théorie de ce mot et de l’i qui s’y trouve. Supprimer absolument la note du vers 34 et du vers 136. ═ Ce mot se trouvant uniquement dans les laisses en ier, doit partout s’écrire bien et non pas ben. V. l’Errata du premier volume.
BIRE (terre de). Mot obscur. D’après la Keiser Karl Magnus’s Kronike, nous proposons En tere de Libie, 246.
BLIALT. Dans le Roland, c’est le vêtement de dessous, 174.
BODLÉIENNE (bibliothèque) à Oxford. C’est dans cette bibliothèque qu’est conservé le manuscrit du Roland (Digby, 23). Description de ce manuscrit, xlii et suiv.
BOIARDO. Son Orlando innamorato (1486), cxxxvi, cxxxvii.
BOILEAU. Combien nous a été fatale son ignorance de notre poésie du moyen âge, cl.
BOLLANDISTES. Intérêt qu’ils attachent à nos anciens poëmes, dont ils réclament la publication, cliii.
BORMANS. Son livre intitulé : La Chanson de Roncevaux, fragments d’anciennes rédactions thioises (1864), cxxvi et clxxxviii.
BOUCLE de l’écu. Gravures qui en font comprendre la forme, 124.
BOURDILLON (J.-L.). Ses travaux sur un remaniement de notre poëme. Son Poëme de Roncevaux (1840), et son Roncisvals mis en lumière (1841), clxxvi, clxxvii.
BRAMIDONIE, BRAMIMUNDE. Argument tiré de cette double forme en faveur de la théorie des deux scribes ou des deux auteurs du Roland. Réfutation de cet argument, lxx, 96, 97.
BRONIE, BRUNIE. V. Haubert, 122, 123.
BRUNI (fer), 149.