VIGNY (Alfred de). Le Cor (1835), clxxiv, clxxv.
VILLEDAIGNE-SUR-L’ORBIEU. La grande invasion des Sarrasins en 792-793, et la bataille de Villedaigne-sur-l’Orbieu, ont contribué à former la légende de Roncevaux, xxii, xxiii.
VILLEMARQUÉ (Hersard de la). Son système sur les Romans de la Table Ronde, et en particulier sur le Graal, 192.
VITET. Son analyse de Roland (Revue des Deux Mondes, 1er juin 1852), clxxix.
VOCATIF (Théorie du) dans la déclinaison romane, 14.
VOLTAIRE. Son Essai sur la poésie épique, clvii. ═ Son influence sur le sort de notre poésie du moyen âge, clv.
VOYAGE À JERUSALEM ET À CONSTANTINOPLE. Fabliau épique de la première partie du xiie siècle. Résumé complet, 35, 36. Cf. 62, 72, 74. ═ Origine de cette légende. ═ Benoît, moine du Soracte à la fin du xe siècle, attribue à Charlemagne lui-même un passage d’Éginhard relatif aux messagers de l’Empereur. De cette falsification est née la fable du Voyage et le poëme, xi. ═ Version en prose du Voyage dans le manuscrit 226 de l’Arsenal (xve siècle), 37.
W
WENILO, archevêque de Sens, condamné au concile de Savonières, en 859. C’est à tort qu’on l’a considéré comme le type de Ganelon, xxiv, xxv.
WEY (Fr.). Ses Révolutions du langage en France (1848) renferment tout un essai sur le Roland, clxxvii, clxxviii.
WOLF (Ferd.). Ce qu’il écrit, en 1833, de la Chanson de Roland (Über die neuesten Leistungen der Franzosen für die Herausgabe ihrer national Heldengedichte), clxxi.
Z
Z. Le Z équivaut principalement à ts et s’emploie, en certains cas déterminés, après l’l et l’n. Voy. passim le Glossaire.