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Page:Gautier - Le Livre de jade, 1867.djvu/103

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Mais lorsque tu entendras le cri de la cigale, cette flûte de l’automne, quand tu verras les nuages roulés par le vent dans le ciel, ta douleur n’aura plus de bornes,

Et, mettant la main sur tes yeux, tu laisseras ton âme s’enfuir vers la patrie.