Page:Gautier - Le Livre de jade, 1867.djvu/123

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Mais la rosée des champs et l’humidité des fleuves, aspirées par le soleil, remplissent de nouveau les grandes tasses des Génies ;

Et il reste assez de vin dans la maison de Thou-Fou pour que je puisse boire encore en composant des vers à la louange des poëtes et de l’empereur Ta-Ming.