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Page:Gautier - Le Livre de jade, 1867.djvu/129

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Tes paroles bruyantes réveillent tes amis de leur rêverie comme le vent écarte un nuage.

Déjà ils se lèvent de leurs siéges. Cesse de boire, toi qui bois depuis si longtemps ; car il faut décidément partir d’ici.