Page:Gautier - Les Princesses d’Amour.djvu/102

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

VI

LES LARMES DES MARCHANDES DE SOURIRES


Il est parti, le joli prince aux yeux de velours, et l’Oiseau-Fleur, tout anéantie, songe à lui, le long des nuits et des journées.

Après une semaine entière d’un merveilleux bonheur, il s’est arraché d’auprès d’elle, mais c’est pour la conquérir. Certain, maintenant, qu’elle n’a été qu’à