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LES PRINCESSES D’AMOUR

tomber de cheval, grièvement blessé, emporter dans une litière.

« Jo-hi ! Jo-hi ! (hors les étrangers) est-ce donc vraiment pour ces êtres méprisables, pour ces inconnus chassés comme des chiens, qu’ont lieu de pareils massacres, que tous les fils du Japon, comme pris de folie, s’entr’égorgent ?



« Oh ! Qu’est-ce donc !… Ces cris, ce tumulte ?… peut-être, dans mon sommeil fiévreux, un cauchemar, qui m’éveille ?…

« Non, non, c’est la réalité, plus affreuse encore ; l’armée, ce qui reste de