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LES PRINCESSES D’AMOUR

aucun tatouage ne m’est apparu, sur les poitrines, courbées vers moi, pour ma honte. Peut-être a-t-il été tué aussi, l’homme de Hikone ! Alors !… Oh ! Alors !…



Tu devrais m’apparaître en rêve, me consoler, me soutenir. Je suis exténuée, au milieu d’un désert sans limites, si seule, si perdue !…

Viens me dire, que tu rapportes ton ordre, que je peux te rejoindre ; ou bien, si tes mânes irrités veulent toujours la vengeance, inspire l’ennemi, pousse-le, traîne-le jusqu’ici.