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III

LA CITÉ D’AMOUR


Étrange palais, en effet !

Après la porte franchie, au lieu de l’avenue ombreuse et paisible, gardée par quelques vieux serviteurs, aux visages graves et respectueux, une large rue droite, pleine de foule et de bruit, bordée de maisons de thé, pavoisées et illuminées, avec, dans les plis des ban-