concerts populaires. La lettre se terminait ainsi :
« Pardonnez-moi, Madame, si j’ai osé compléter, — surtout à l’aide de mon mauvais français ! — votre connaissance d’ailleurs si profonde et si intime de ma musique, par laquelle vous m’avez vraiment étonné et touché.
« J’irai probablement à Paris dans peu de temps, peut-être encore cet hiver, et je me réjouis d’avance du vrai plaisir de vous serrer la main et de vous dire de vive voix quel bien vous avez fait à votre très obligé et dévoué
J’attendis en vain ce voyage annoncé. Wagner ne vint pas en France cet hiver-là ; il n’y est pas venu depuis.
Il n’y avait qu’une chose à faire, aller à Lucerne : mais comment serait-on reçu ? de fantastiques légendes couraient sur Wagner. On racontait, entre autres, choses, qu’il avait chez