diamantée des eaux jaillissantes. Ce duc avait excité l’indignation chez la gent ailée « par son chant lugubre et son vilain plumage. » La lame de bronze explicative portait ce quatrain dû, comme tous les autres, à l’auteur des Métamorphoses d’Ovide mises en rondeaux :
Les oiseaux en plein jour, voyant le duc paraître,
Sur lui fondirent tous à son hideux aspect.
Quelque parfait qu’on puisse être,
Qui n’a pas son coup de bec ?
Au centre du labyrinthe s’élevait un pavillon ou cabinet, « dont le dessin du plafond fait plaisir à voir, » disent des descriptions du temps. La dernière fontaine qu’on trouvât sur sa route et qui indiquait qu’on avait surmonté heureusement les difficultés du dédale, s’appelait « les Canes et le barbet. »
Un barbet poursuivait des canes ;
Mais il revint avec un pied de nez.
Il est des vœux aussi vains que profanes,
Ne comptez sur un bien que quand vous le tenez.
M. Leclerc a gravé une jolie suite d’eaux-fortes d’après ces fables. Le frontispice d’un petit livre du temps, que nous consultons pour faire cet article, fournit un curieux détail de mœurs :