Page:Gavarni - Grandville - Le Diable à Paris, tome 1.djvu/325

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

les gens de paris. L’argent. — 1.


Mon cher mosieu, c’est du bon argent que je donne à quinze… à seize, si vous voulez — contre de mauvaises signatures. — C’est une infamie ? Bien ! je fais de l’usure… très-bien ! Mais alors, quand vous prenez de ces actions, au capital soi-disant garanti, et que vous comptez bonnement sur des dividendes de trente, quarante, cinquante, cent pour cent… qu’est-ce que c’est que vous faites ?

gavarni le diable à paris.