Page:Gazette des Beaux-Arts, vol 31 - 1904.djvu/37

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LES SALONS DE 1904 33 l’idée à'Une noce pittoresque, où les femmes, en coiffes ajourées, et les hommes, en chapeaux raides, banquettent-dans une salle déco¬ rée de festons de verdure. La vie familiale ou familière a les prédilections d’un grand LE CIMETIÈRE, PAR M. .I.-L.-M. COSSON (Société des Artistes français.) nombre. M. Selmy nous fait pénétrer dans un silencieux Intérieur de Bruges. Tout y est d’une couleur franche et vraie, qui sait accueillir les oppositions sans dureté. M. Lorieux nous mène avec agrément près de la Porte ouverte, Mlle Lovering à Y École de dentelles; et, dans le clair-obscur d’une lumière toujours artificielle, encore qu’elle soit douce, M. J. Bail nous invite à entendre la lecture de la Veillée, à la XXXII. — 3® PÉRIODE.