Page:Gazette des Beaux-Arts, vol 31 - 1904.djvu/397

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GAZETTE DES BEAUX-ARTS par lui-même, la toile étant accrochée très haut, il croyait franche¬ ment à un Chardin : « A la première vue, écrit-il, point de doute, point dJhésitation; c’est la chaleur de la peinture de la Baie, c’est ce même ton opulent et recuit, c’est ce même feu sourd des chaleurs où PORTRAIT ï> E JE A N-PIIILI PPE HAMEAU, ATTRIBUÉ A AVED (Musée de Dijon.) la vie est comme en fusion». Et les lignes suivent très enthousiastes dans leur conviction, mais nullement concluantes pour cela, car leur admiration porte sur des détails de pratique qui ne me paraissent pas absolument particuliers au seul Chardin. D’abord, ce-ton opulent