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Page:Gazette des Beaux-Arts, vol 31 - 1904.djvu/398

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LE PORTRAITISTE AVED ET CHARDIN PORTRAITISTE 349 et recuit peut aussi bien provenir de la palette d’Aved, qui, nous le savons, ne nourrissait pas pour Rembrandt un moindre culte que son compagnon, auquel peut-être lui-même l’avait communiqué. De plus, rappelez-vous l’arrangement de la composition dans le portrait (Musée de Versailles.)

de Catherine de Seyne à safenêtre caressant un petit chien. Mais sur¬ tout Ed. de Goncourt parle de« mains lumineuses dans leur pénombre, dessinées par une clarté, par un reflet à leur bord, trempant et flottant radieusement », que l’on admire dans l’image de M. Roques, de la galerie Sedelmeyer; il insiste sur « les grandes engageantes de den¬ telles, pleurant sur les bras, qui se modèlent, se dessinent, s’accen-