JEAN BOURDICHON ET SON ATELIER 443 blanche, les anges leurs longs cheveux que serre une couronne de pierreries. Les reproductions qui accompagnent cet article parlent d’ailJeurs d'elles-mêmes. Il suffira, pour être convaincu, de jeter un mUV.O tua pavai»Hh) (cCiUlïO MOctUt ^>^3! uo tu). kvo ic • -Uj pe* - || ommu£ mjit me et mcljtl nudn Sent; ni lca> pifeue tbi me col i Icuuut. ujxv cU-|imn) ivfïctiOHce- cOucu uit mcAmMiumi michiij comicrfif. QQ^ cSmif mic fn pep foiuhie- wflt cic:v«>pt(P nomo) ftuwi. WÊMŒIÊM 1 am cf- fi antluclauctu mi iiïèSio "\Miibcc mentit: non fiuiclx) mala quo MHtMl fil MICCIIMI cc. E3PJ i nui itta cf Ixiathcfe iuue-upfâ ute cvnfohxtu finit * 1 J * aSuerfufc co&ejtu fnbukmf ntc-^§® £H£ mpnuÿil fil moleoatpnt meu: et axhx meus mcbaans if peedauiecl • lf mut tua fub/ccpicfur mc.oiii ^ inbus SulmiTVift mec. cmns^sS f ut mijaintem m tïmto cpimm UN CANDÉLABRE ANTIQUE, MINIATURE D’üX LIVRE D’HEURES PAR JEAN BOURDICHON (Collection du baron Edmond do Rothschild.) coup d’œil sur ces deux Saint Jean ou sur cette double scène de la Descente du Saint-Esprit. Maisily aencore d’autres preuves. Plusieurs motifs, en effet, se retrouvent dans le Missel de Tours.Je veux parler des candélabres antiques qui décorent presque toutes les marges du livre d’Heures.
