Page:Gazette des Beaux-Arts, vol 31 - 1904.djvu/544

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LE SALON D’AUTOMNE\tm trouvera ainsi rappelée : sur la route qui s’enfuit et se perd au loin, pareille à l’énigme de la destinée, la jeune fille s’apprête à suivre le compagnon de vie librement choisi, et déjà la main s’est tendue PORTRAITS, PAR M. EUGÈNE CARRIÈRE (Salon d’automne.) vers la main qui doucement l’attire, quand s’échangeavec les êtres chers, témoins des premières années, le solennel adieu de la fiancée en partance pour l’existence nouvelle. L’art humain, social, de M. Eugène Carrière répond au grand