Aller au contenu

Page:Genlis - Mademoiselle de Clermont.djvu/172

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sur le bras de sa femme de chambre, elle sortit, elle descendit par un escalier dérobé, et se trouva dans la cour : le clair de lune le plus brillant répandoit une lueur argentée sur toutes les vitres du palais ; mademoiselle de Clermont jeta un coup d’œil timide sur l’appartement de son frère ; cette vue lui causa un attendrissement douloureux…… et tournant le dos au palais, elle précipita sa marche ; mais quelle fut sa frayeur extrême, lorsque, tout à coup, elle se sentit fortement arrêtée par derrière !…… Elle frémit,