Aller au contenu

Page:Genlis - Mademoiselle de Clermont.djvu/61

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

puis plus de trois semaines elle voyoit en lui, malgré son extrême réserve, tous les signes et tous les vrais témoignages d’un vif intérêt ; il n’entroit jamais dans le salon sans la chercher des yeux ; ses regards se portoient sur elle avec une expression particulière, le son de sa voix étoit plus doux en lui parlant… ; ce jour même il s’étoit entretenu avec elle d’une manière si agréable, et qui souvent avoit eu quelque chose de si affectueux !… Il aimoit la danse, il en étoit convenu… Pourquoi donc ce caprice ? pourquoi ce