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Page:Genlis - Mademoiselle de Clermont.djvu/88

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la tête. Un moment après, reprenant la conversation : « Vous croyez donc, reprit-elle, que je danserai au bal paré ? » À cette question, le duc la regarda fixement d’un air étonné. « Non, monsieur, continua-t-elle, je ne danserai que l’été prochain, à Chantilly. » Comme elle disoit ces mots, elle se leva de table, et l’on passa dans le salon. Le lendemain, mademoiselle de Clermont écrivit à son frère, qu’en descendant seule l’un des petits escaliers de son appartement, elle s’étoit donné une entorse.