mocratie, soit la plus commode, et la plus stable forme de gouvernement, quoique je sois persuade qu’elle est désavantageuse aux grands états, je la crois néanmoins une des plus anciennes.
« Un grand pays doit être monarchique[1]. »
« Le contrat-social doit être bien reçu à Genève, car j’y préfère hautement l’aristocratie à tout autre gouvernement[2] ».
Après avoir lu ce papier, je me mis à rire. Croyez-vous donc, dis-je à Florzel, que je sois la dupe de cette plaisanterie ? Il est vrai que je n’ai jamais lu ces auteurs, mais je suis bien certain qu’on ne trouve point dans les ouvrages de ces philosophes chéris des démagogues, des sentences qu’on ne pourroit écrire ou proférer en France sans aller à l’échafaud. Je vous donne ma parole, reprit Florzel,