Page:Genoude - Les Pères de l'Eglise, vol. 3.djvu/149

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d’une bête féroce que recélerait dans ses retraites une épaisse forêt, et dont on se rend maître facilement, en abattant les parties les plus touffues : le monstre alors ne peut plus se cacher ; on évite ses atteintes, parce qu’on voit tous ses mouvements ; et comme on peut le viser en tirant sur lui, il est bientôt blessé à mort.

Dans le deuxième livre qui va suivre, nous nous appliquerons à réfuter en détail toutes ces hérésies, comme nous vous en avons fait la promesse, ne leur faisant grâce sur aucun point. C’est ainsi qu’après avoir forcé le monstre dans son repaire, nous le frapperons de nos traits et le détruirons entièrement.