Page:Geoffroy - Napoléon et la conquête du monde, 1836.djvu/148

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mauvaise ambition d’autrefois qui lui avait fait aspirer à une épouse du sang impérial. Alors, c’était une faveur, mais depuis, ce sang était retombé bien au-dessous de lui. Maintenant même, il supportait mal cette alliance qui le retenait sur le même plan que les autres rois. La mort de l’impératrice, tout en lui déchirant le cœur, lui rendit comme une sorte de liberté, et fit que désormais il n’aurait plus rien de commun avec les autres rois.