Page:Geoffroy - Napoléon et la conquête du monde, 1836.djvu/357

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

de la mer Pacifique ses aigles et ses étendards tricolores.

Lui-même, n’ayant conservé avec lui que cinq vaisseaux, quitta le port magnifique de Sidney, peu de jours après y être arrivé, et fit voile vers le cap de Bonne-Espérance pour retourner en Europe.