Mais, quoi ! J’en ai de la tenue !
Ah ! là, oui ! Ah ! tu en as, de la tenue ! (Lui décroisant les jambes et la faisant descendre de la table.) Et, maintenant, à tantôt, trois heures et demie, en bas, devant la porte d’entrée !
Entendu ! (Se dégageant de Petypon, qui la dirigeait vers la sortie, pour aller à Mongicourt.) Bonjour, le m’sieur ! (Elle lui donne la main et, en même temps, par-dessus leurs deux mains jointes, elle fait un passement de jambe.) Et ! allez donc !…
Encore ! (Courant à la Môme et lui saisissant le poignet droit.) Va, file ! Ma femme peut entrer d’un moment à l’autre !
Oh ! bien, quoi ? je suis dans une tenue convenable ! (Passant 3, avec des mouvements de pavane.) Je suis mise comme une femme honnête. (À Petypon.) C’est égal, elle n’a pas de chic, ta femme ! (De loin, avec un salut de la main de Mongicourt.) Au revoir, bidon !
Au revoir, la Môme !
Au revoir ! vieux vicieux !