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Page:Georges Feydeau - La dame de chez Maxim.djvu/139

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Corignon, s’inclinant à nouveau.

Monsieur !

Petypon, la bouche rieuse.

Votre second témoin !

Corignon, passant (2) pour aller tendre la main à Varlin.

Oh ! pardon ! Oui ! Oui ! je ne vous remettais pas !

Varlin (1).

C’est qu’il y a si peu de temps qu’on se connaît.

Corignon, lui secouant la main.

En effet ! c’est cette nuit. (À Petypon, sans lâcher la main de Varlin.) Oh ! combien je suis désolé de cet envoi de témoins… ridicule !

Varlin, tirant Corignon à lui.

Comment, « de témoins ridicules ».

Corignon, à Varlin, tout en lui lâchant la main.

Non ! Non ! Je parle de l’envoi.

Varlin.

Ah ! bon.

Corignon, à Petypon.

J’espère bien que vous n’allez pas me tenir rigueur et que vous allez me serrer la main que je vous tends en agréant mes excuses les plus sincères !

Petypon, magnanime, lu tendant la main.

Mais, voyons ! J’ai tout oublié !

Corignon, lui serrant cordialement la main.

Ah ! je ne saurais vous dire le poids que vous m’enlevez !