Page:Georges Feydeau - La dame de chez Maxim.djvu/143

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Corignon (3).

Oui, oh ! mais… je le materai s’il m’embête !

Petypon, toujours bravache, à Corignon.

Mais, parfaitement ! c’est ce que je lui ai dit ! (À Varlin.) Ah ! mais ! Je ne me suis pas gêné ! (Regardant sa montre.) Oh ! nom d’une pipe, trois heures et demie !… et les autres qui doivent venir me chercher !… (À Corignon et à Varlin, en faisant passer ce dernier no 2.)) Oh ! messieurs, je suis désolé, mais j’ai à prendre le train.

Corignon (3).

Oh ! que ne le disiez-vous ! vous partez ?

Petypon (1).

Eh ! oui, je pars avec votre futur oncle, pour la Touraine !… Au fait, je vous y retrouverai, il est probable ?

Corignon.

C’est vrai, vous allez là-bas ! Ah ! moi, je ne pars que demain !… je n’ai pu obtenir congé plus tôt !… Ah ! bien, je suis bien heureux : je vous y reverrai !…

Petypon.

C’est ça. C’est ça !

Corignon.

Allons ! Au revoir, mon… (Avec intention.) mon cousin !

Petypon.

C’est vrai ! Au revoir, (Appuyant sur le mot.) mon