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Le Général, sans se déconcerter, indiquant l’abbé tout contrit.
… comme dit monsieur l’abbé !
L’Abbé, scandalisé.
Moi !… Oh ! oh ! général !…
Il remonte en esquissant un imperceptible signe de croix.
Le Général, à la Môme.
Ah ! elle a bien besoin que vous la dégourdissiez un peu !
La Môme.
Oh ! mais, c’est entendu, mon oncle ! Tout à l’heure, nous nous éclipserons un moment et je lui donnerai quelques conseils élémentaires.
Le Général.
Bravo !
Petypon, près du piano.
Eh bien ! ce sera du joli !
En voyant la Môme remonter avec Clémentine, il s’élance pour la retrouver, trouve le général sur son chemin, hésite, tantôt à droite, tantôt à gauche, le général contrariant sans le vouloir chaque fois son mouvement.
Le Général, l’envoyant à droite.
Allons, prends ta droite ! (À Chamerot et Guérissac qui, par l’extrême-gauche, sont descendus jusque devant le piano.) Est-il jaloux, ce bougre-là, il ne la quitte pas d’une semelle !
En se retournant il trouve près de lui le curé occupé à considérer de loin Petypon et la Môme en train de se chamailler devant le buffet.
L’Abbé, au général, indiquant le couple.
C’est beau, général, de voir un ménage aussi uni !