Page:Georges Lemay Petites fantaisies littéraires - 1884.djvu/113

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PENSÉES.



Quand le souffle de l’infortune a glacé son cœur, l’homme trouve dans l’amour et dans la musique, les régions de pur idéal, où s’oublient les heures et les amertumes.


La vie est un abîme où ne cessent de tournoyer des déceptions brûlantes, des ambitions méconnues, des trahisons amères ! S’il arrive à la lumière de flot-