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Page:Georgette Leblanc - Un pélerinage au pays de Madame Bovary.djvu/101

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passions. Elle était blonde avec des yeux bleus et un teint de normande qui pourtant, vers la fin tendait à se couperoser. Je ne sais si ses toilettes étaient d’une élégance irréprochable, ce qu’il y a de certain c’est qu’elles étaient comme on dit chez nous, fort voyantes. Elle devait avoir pour les robes roses une prédilection particulière. »

Le portrait plus détaillé que nous trace Maxime Du Camp se rapporte à peu près au même modèle et n’est guère plus séduisant.

« C’était, nous dit-il, une petite femme sans beauté, dont les cheveux d’un jaune terne encadraient un visage piollé de ta-