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toires nous citerons la lettre que Flaubert écrivait de Croisset[1], le 10 mai 1855 à son vieil ami Bouilhet, à propos de son travail sur madame Bovary :
« J’ai peur que la fin (qui dans la réalité a été la plus remplie) ne soit, dans mon livre, étriquée comme dimension matérielle… etc. »
On connaît trop la profondeur de leur amitié et quelle sincérité régnait entre les deux amis pour douter un instant de la vérité de ces lignes…
- ↑ Correspondance de Flaubert, tome III.