le télescope du sextant vers l’horizon et l’on voit dans un miroir la réflexion de l’astre.
Une fois que l’observation est prise, il ne faut que quelques minutes pour trouver la position. J’utilisais un sextant et un chronomètre. Ayant des connaissances mathématiques suffisantes, j’employais les plus modernes procédés de navigation qui sont adoptés sur les paquebots et dans la marine de guerre.
La difficulté est de prendre une observation dans une tempête et par une forte mer, car le pont glisse sous les pieds et le navire roule et tangue fortement ; les deux mains sont nécessaires pour tenir le sextant et le navigateur solitaire doit se maintenir avec ses pieds pour ne pas tomber à la mer. C’est alors qu’il me fut très utile d’être toujours pieds nus.