Page:Germaine de Stael - Lettres et pensées du maréchal prince de Ligne, Paschoud, 1809.djvu/354

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son sens, y faisant abonder les autres ; rapportant tout à ce qu’il écrivoit, à ce qu’il pensoit ; faisant parler et penser ceux qui en étoient capables ; donnant des secours à tous les malheureux, bâtissant pour de pauvres familles, et bon homme dans la sienne ; bon homme dans son village, bon homme et grand homme tout à la fois, réunion sans laquelle l’on n’est jamais complètement ni l’un ni l’autre : car le génie donne plus d’étendue à la bonté, et la bonté plus de naturel au génie.



F I N.