bre des coups que donnaient ou recevaient le Père et
Toinette par celui des pas que ma main, plus ou moins
pressée, faisait sur ses charmantes cuisses. Enfin, je
gagnai le but. Alors Suzon, sans pousser plus loin sa
résistance, m’abandonna tout, et écartait elle-même les
jambes pour laisser à ma main toute la facilité de se
contenter. J’en profitai, je portai le doigt à l’endroit
sensible, à peine pouvait-il y entrer. Elle tressaillit
aussitôt qu’elle sentit que l’ennemi s’était emparé de la
place, et ses tressaillements se renouvelaient au moindre
petit mouvement de mon doigt.
— Je te tiens, Suzon ! dis-je alors, je te tiens.
Je levai aussitôt son jupon par derrière, et je vis le plus beau, le plus blanc, le mieux tourné, le plus ferme, le plus charmant petit cul qui soit possible d’imaginer. Non, aucun de ceux que j’ai vus dans le cours de ma vie, aucun de ceux à qui j’ai le plus fait de fête, aucun n’a jamais approché du cul de ma chère Suzon !
Fesses divines, dont l’aimable coloris l’emportait sur celui du visage ; fesses adorables, sur lesquelles je collai mille baisers amoureux, pardonnez si je ne vous rendis pas alors le véritable hommage qui vous était dû ! Oui, vous méritiez d’être adorées ; vous méritiez l’encens le plus pur ; mais vous aviez un voisin trop redoutable… Je n’avais pas encore le goût assez épuré pour connaître votre véritable valeur : je le croyais seul digne de toute ma passion ! Cul charmant, que mon repentir vous a bien vengé ! Oui, je conserverai toujours précieusement votre mémoire ! Je vous ai élevé dans mon cœur un autel où tous les jours de ma vie je pleure mon aveuglement !
J’étais à genoux devant cet adorable petit cul, je l’embrassais, je le serrais, je l’entr’ouvrais, je m’exta-