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Page:Ghil - Œuvre, 1, 4, Le Vœu de vivre, vol3, 1893.djvu/81

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XXXVII




Mourez, ô les Mères mourez du
cœur ! — aux soirs de l’août par tout ovaire
qui saignent l’être sur les terroirs
entrez tranquilles parmi la terre
de qui aux vôtres les saints Devoirs
s’unirent : par les Fils, de l’ovaire
épuisant qui sortirent, et du
cœur ! l’honneur maxime vous est dû —
entrez tranquilles parmi la terre…