Page:Ghil - Œuvre, 2, 1, Le Pas humain, 1898.djvu/80

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.... et
les nuits, les seuls Veilleurs des Feux —
à voir leurs ondes
dessus l’être animal des sommeilsamassés
largement palpiter et d’envergures rondes
planer et s’alourdir nocturnes — et, tollies !
battre l’espace…
en des images d’air emplies
songeaient un grand oiseau de Flamme, qui de ses
cendres renaîtrait !