Page:Ghil - Légende d’âmes & de sangs, 1885.djvu/148

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— ne l’a vu mon désir, mais il vit, mais il vit
Il vit, il m’a vu même : et, sans nom, mais de lui,
M’ont, par une vesprée, — oh ! les hommes, s’il vit ! —
M’ont salué des vers pour me parler de lui. —