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Italie. Sa division avant les conquêtes des Romains, I, 91. Est le centre de leur gouvernement, 148. Son étendue, sa population, ibid. Est envahie par Auréole, II, 182. Par les Allemands, 207. Par Galère, empereur d’Orient, 404. Bataille de Turin et de Vérone ; presque toute l’Italie embrasse le parti de Constantin, 427 et suiv. Invasion d’Alaric ; défaite des Goths à Pollentia, V, 444 et suiv. Invasion de Radagaise ; défaite des Germains devant Florence, 470 et suiv. Massacre de Pavie, 499. Siéges successifs et sac de Rome, VI, 46 et suiv. Ravages dans l’Italie, 88 et suiv. Paix avec les Goths ; règlemens pour le soulagement de Rome et de l’Italie, 90 et suiv. Invasion d’Attila ; siège d’Aquilée, 329. Fondation de Venise, 333. Odoacre, premier roi d’Italie, 439 et suiv. Triste situation de ce royaume, 450. Règne de Théodoric ; partage des terres ; séparation des Goths et des Italiens, VII, 155 et suiv. Gouvernement civil d’après les lois romaines, 163. État florissant de Rome et de l’Italie, 167 et suiv. Règne d’Amalasonthe, 369 et suiv. De Théodat et de Vitigès, 379 et suiv. Envahissement de l’Italie par Bélisaire, 382. Et par les Francs, 417. Révolte des Goths ; règne et victoires de Totila, VIII, 96 et suiv. Siége de Rome, 106. Prise de cette ville, 110. Sa reprise par Bélisaire, 115. Les Goths s’en emparent de nouveau, 121. Narsès la leur reprend, 135. Teias, dernier roi des Goths, 137. Invasion de l’Italie par les Francs et les Allemands. 141. Leur défaite, 144. L’Italie réduite en province de l’empire, 147. Aristocratie de trente tyrans, qui la divisent et l’oppriment, 333. Sa misère et sa détresse, 343. Sa conquête par les Francs, IX, 344. Son indépendance, 373. Lutte des Sarrasins, des Latins et des Grecs, XI, 98. Apparition des Normands, 110. Conquête et oppression de la Pouille, 118 et suiv. Renaissance de l’érudition grecque en Italie, XII, 464. Étude, établissement et progrès de cette langue, 471 et suiv. Le pape Nicolas V protège les lettres grecques, 481. Côme et Laurent de Médicis y consacrent leurs richesses, 483. Usage et abus de l’ancienne érudition, 486.
J.
JAMBLIQUE (le divin), philosophe de l’école de Platon, était admiré comme un des plus habiles maîtres de la science de l’allégorie, IV, 357.
JEAN, usurpateur de l’empire d’Occident. Son élévation et sa chute, VI, 203.
JEAN (S.), surnommé Chrysostôme, élu archevêque de Constantinople. Son mérite, VI, 164. Son administration pastorale, et ses défauts, 166. Il est persécuté par l’impératrice Eudoxie, 170. Émeute populaire à cette occasion, 172. Son exil, 174. Sa mort, 176. Ses reliques sont transportées à Constantinople, 177.
Jérusalem. Julien projette la réédification de son temple, IV, 386. Sa description, 388.