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Page:Gide - La Porte étroite, 1909.djvu/116

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la porte étroite

n’entends point ; elle les accompagne jusqu’à la porte, nous prie de laisser reposer sa sœur auprès de qui elle veut rester seule avec ma tante Plantier… Abel me saisit par le bras et m’entraîne au dehors, dans la nuit où nous marchons longtemps, sans but, sans courage et sans pensée.