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(ce n'est d'ailleurs pas là la raison majeure qui me retient).
Je viens d'écrire le chapitre X de la seconde partie (le faux suicide d'Olivier) et ne vois plus devant moi qu'un embrouillement terrible, un taillis tellement épais, que je ne sais à quelle branche m'attaquer d'abord. Selon ma méthode, j'’use de patience et considère la touffe longuement avant d'attaquer.
La vie nous présente de toutes parts
quantité d'amorces de drames, mais il est
rare que
ceux-ci se poursuivent et se dessinent comme a coutume de les filer un
romancier. Et c'est là précisément l'impression que je voudrais donner dans ce
livre, et ce que je ferai dire à Edouard.