Page:Gide - Le Voyage d’Urien, Paludes.djvu/277

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- Ou d'aller encore une fois, ô forêt pleine de mystère, - jusqu'à ce lieu que je connais, où, dans une eau morte et brunie, trempent et s'amollissent encore les feuilles des ans passés, les feuilles des printemps adorables.

C'est là que se reposent le mieux mes résolutions inutiles, et que se réduit à la fin, à peu de chose, ma pensée.