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que je mens. Le vrai c’est que, cette chair que je hais, je l’aime encore plus que Vous-même. Je meurs de n’épuiser pas son attrait. Je vous demande de m’aider mais c’est sans renoncement véritable…
— Malheureux qui prétends marier en toi le ciel et l’enfer.
On ne se donne à Dieu que tout entier.
T’étonnes-tu vraiment si, après avoir quitté Dieu si longtemps, tu ne parviens pas, aussitôt que tu te retournes vers Lui, à la félicité, à la communion, à l’extase ? On n’y parvient que par l’intimité.