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Voici par quels vers s’ouvrent les poèmes du cycle de Peregrina. (Ils remontent d’une profondeur de l’âme qui n’accède que très rarement à la parole, qui ne peut que très rarement y accéder parce que la vie est trop faible pour séjourner longtemps dans ces profondeurs.)
Le miroir de ces yeux fidèles et sombres |