Page:Gilkin - La Nuit, 1897.djvu/72

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Quand je crierai vers l’azur vide,
Quand l’angoisse fendra mon cœur,
Quand tombera mon front livide
Sur mon sein gonflé de rancœur,

Quel enfant épris de mensonge,
Angélique étancheur de fiel,
Me tendra, sur ma croix, l’éponge
Pleine de vin et d’hydromel ?