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LA CHARGE DE M. THIERS
e l’écris pour l’ahurissement des provinciaux : je n’ai jamais vu M. Thiers. Je l’ai, à ma façon, dessiné cinq cents fois peut-être ; je ne l’ai jamais vu.
Cela tient probablement à ce qu’il en est de mon humble individu comme de la plupart des Parisiens qui, peu soucieux de leurs monuments, laissent volontiers s’écouler la vie sans s’inquiéter de savoir si l’obélisque