conforme au bon sens, le met en scène et le joue, ce qui est héroïque.
Il y ainsi des hommes de bonne volonté qui font le devoir des autres.
Cela mérite un encouragement, une récompense ; Talien, peut-être, l’aura, si le ministère jette les regards de son côté. D’ailleurs, ce n’est pas la question que je veux soulever en ce moment.
Je ne veux que déplorer la nuée d’élucubrations en un acte, en vers, qui, dès la première avance de Talien, a crevé tout à coup, inondant les cartons de Cluny.
Je sais qu’une hésitation est permise devant la grande Thèse humaine et pantelante, qu’on ne peut, sans quelque frisson, songer, pour la première fois, à charpenter les solives d’un drame de haute architecture ; mais aussi, l’acte en vers, dont le principe est de faire miroiter une idée grosse comme une