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Page:Gille - La Cithare.djvu/132

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Les Ménades, en proie à leurs divins délires,
Pressent confusément les Pans et les Satyres
Qui, reformant alors leur chœur interrompu,
Dansent, joyeux, autour de Silène trapu ;
Mais lui, serrant son âne à la docile croupe,
Hilare et bienveillant, vide sa large coupe.