vorce : comme cela, je pourrai tout de suite épouser Hermance. Elle m’a donné rendez-vous sur cette place… voilà près d’une minute que je l’attends… c’est trop ! (Madame van Tricasse parait.) Elle !
Ah ! c’est toi, petit !
Oui, moi, ton beau Niklausse.
Beau !… beau !… Écoute, j’ai à te parler.
Parle !
J’ai beaucoup réfléchi depuis une heure… Nous ne sommes pas faits l’un pour l’autre.
Hermance !… Tu me dis cela au moment où le divorce est rétabli et que nous pouvons nous épouser !
Je ne me crois pas née pour les liens du mariage. La femme est comme le papillon… il faut qu’elle puisse voltiger d’une fleur à l’autre. Nous sommes nées pour être libres… je viens reprendre ma liberté.
Qu’est-ce que tu dis ?
Je ne veux pas te tromper plus longtemps.
Tu me trompais ?