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MARIE CALUMET.

leurs embrasements sont des embrasements de feu et une flamme très véhémente.

« Beaucoup d’eaux ne pourraient éteindre cet amour-là, et les fleuves mêmes ne le pourraient pas noyer ; si quelqu’un donnait tous les biens de sa maison pour cet amour-là, certainement on n’en tiendrait aucun compte.

« Nous avons une petite sœur qui n’a point encore de mamelles ; que ferons-nous à notre sœur au jour qu’on parlera d’elle ?

« Je suis comme une muraille, et mes mamelles sont comme des tours ; alors j’ai été si favorisée de lui, que j’ai trouvé la paix. »

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Suzon était tellement empoignée par